The Card Player

Publié le par Fabmovie

 

Un petit film qui traine depuis longtemps sur mes étagères, The Card Player de Dario Argento de 2004. Un sérial killer oblige la police à joeur un jeu dangereux avec lui : si la police perd la partie de poker, la victime est exécutée en direct via une webcam. Une jeune policière, Anna, mène l'enquête !!! Film très télévisuel, cette énième version du giallo dont Argento connait les règles par coeur, est bien entendu très loin de révolutionner le genre. Il est même par moment assez mou du genou. On a par moment de la peine à reconnnaître sa "patte" !!! Heureusement bon nombre de ses thèmes et obsessions favorites font leur apparition pour nous remettre dans son monde !!! Même la musique signée par son vieux comparse Claudio Simonetti n'est reconnaissable que sur un ou deux thèmes !!! Mais je ne sais pas pourquoi mais je n'arrive pas à détester un Argento !!! Je suis incapable de l'expliquer, mais chacun de ses films même les plus chiants et mauvais me font plaisir à voir et celui-ci ne déroge pas à la règle, je suis ravi de l'avoir vu et malgré tout ses défauts j'ai bien aimé !!! Il y a des trucs bizarres comme ça !!! Allez comprendre !!!

Publié dans CaptainDvd

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M
on peux voir ça comme ça, tu as raison du côté développement par contre reconnait qu'il s'agit juste de ton copier coller avec lien cliquable sur ton site !!! Chipoteur va !!! <br /> A part celà j'ai bien reçu le dvd hier je te remercie !!!
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M
En quoi est-ce de l'autopromotion puisque c'est mon avis qui est détaillé ? A aucun moment je n'invite à venir lire sur mes pages !(Et ça vaut toujours mieux qu'un cool/pas cool, trop d'la balle/putain d'daube... non ?)
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S
lol.<br /> un film que j'apprecie. une image video qui casse un peu l'ambiance et des situations grosse comme des camions d'incomprehensions....mais ça se regarde comme on boit du petit laid.
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M
ça y est tu recommences ta pub un peut partout avec les copier coller de ton blog !!! C'est cool mais à dose homéopathique, quoi que je te comprend il risque d'y avoir plus de commentaire ici que par chez toi où c'est un peu vide, donc c'est de bonne guerre, mais il y a d'autre manière de participer aussi que l'autopromotion !!!
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M
C’est sur une BO technoïde du plus navrant effet (on est là plus proche de Robert Miles que de Squarepusher !) – que l’héroïne interrompt radicalement in fine – et installé dans une esthétique hésitant entre Julie Lescaut et NCIS (la photo de Ben Debie a su se montrer plus inspirée (Innocence, Calvaire, Irréversible)), que Dario Argento offre une nouvelle et tiède mouture pas même sorti en salles françaises !) de l’éternel giallo transalpin, qu’il travaille et retravaille sans cesse.Or, au lendemain de son Sang des Innocents (aux allures florilèges du Femme Fatale pour B.dePalma) de très honnête facture, quoi faire de plus, qu’entreprendre de neuf ?Très sobre dans son contenu et dans sa forme (un épisode des Experts vous remuerait davantage !), peu finaud dans ses ressorts psychologiques ou ses articulations scénaristiques, fadement campé (Stefania Rocca fait ce qu’elle peut, mais il y a peu à faire, et Sylvio Muccino (petit génie du poker échappé de Pulsions ou de WarGames) semble avoir été choisi pour sa seule ressemblance avec David Hemmings (Profondo Rosso)), et régulièrement ridicule (le monde du gambling et la sphère internetisante sont assez piètrement représentés (et le final est rigoureusement grotesque !)), le film n’offre de qualités que comptables et historiques : de combien de manières l’autrefois baroque romain rongera-t-il son os (demoellifié), en attendant le Grand Œuvre promis (le troisième volet « Mater » devant succéder à Suspiria et Inferno) ?. Les petites marques argentesques sont certes bien présentes (fétichisme intrinsèque du giallo, motifs voyeuristes (reflets, écrans, caméras), trahison environnementale du coupable (dont l’identité est finalement et toujours peu importante) après contrarié modus operandi de l’enquête (et implication personnelle de l’enquêteur)…), mais au service de quoi ? Je vous le demande.** L'influent et focalien Marquis tente courageusement ici d’y répondre,… sans être toujours parfaitement convaincant.
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